L'auteur nous témoigne de son séjour pendant sept mois passés auprès de l'équipe soignante, des bénévoles, des familles et des malades atteints de maladies incurables, qui arrivent "au bord du monde"
L'auteur nous témoigne de son séjour pendant sept mois passés auprès de l'équipe soignante, des bénévoles, des familles et des malades atteints de maladies incurables, qui arrivent "au bord du monde"
L'auteur nous témoigne de son séjour pendant sept mois passés auprès de l'équipe soignante, des bénévoles, des familles et des malades atteints de maladies incurables, qui arrivent "au bord du monde"
Un homme, le narrateur, et une femme vont se séparer. Sans le savoir, il va lui raconter sa vie, la famille qu'il a fondée, ses amours, surtout celui-ci qui se termine comme se termine le roman.
Le père de l'auteur, Yvan Audouard, charmeur et insaisissable, amateur de bonne chère et d'alcool, était plus soucieux de plaire à ses lecteurs (il officia vingt-cinq ans dans Le canard enchaîné) qu'à ses propres enfants. Il fut l'ami de Blondin et de nombreux écrivains. A. Audouard raconte les relations parfois tendues qu'il entretenait avec son père.
Le mystère de l'amour unique qui unit Héloïse au plus célèbre maître de philosophie du XIIe siècle : Abélard. Antoine Audouard s'attache à restituer l'incroyable vitalité de l'époque, loin des clichés sur la nuit médiévale.
A. Audouard a rencontré, pendant sept mois, à partir de novembre 2000, les patients et le personnel soignant et administratif de la Maison, centre de soins palliatifs installé à Gardanne. Il fait le portrait des malades, des soignants mais aussi des bénévoles et des familles qu'il a croisés dans ce lieu et retrace l'histoire de cette structure.